27 juin 2007
Pekno vs Techno
26 juin 2007
11 reasons to date a female geek !
There have a been a couple of great top ten lists lately. First there was Maryamie's "In Defense of Geeks or Ten Reasons Why You Should Date a Geek" and then Sarah Blow's "10 Reasons NOT to date a Geek (unless they don't follow this pattern!)". Now Maryam uses her husband as a model, so her assumption that the geek in question is male might be forgiven. I more disappointed in Sarah, though, since she describes herself as a geek.
So, here are my 11 reasons to date a FEMALE geek [hat tip to Maryam]:
1) She can fix your computer and make a website for your new startup.
2) She has friends who can fix your computer and design a database for you.
3) She can program your mother's VCR and Tivo your favorite shows.
4) Her friends can program your mother's VCR and Tivo your favorite shows
5) She can fix your friends' computers.
6) She'll make you shine wherever you go -- how many of your friends are smart enough to date such a smart and useful woman?
7) She can pick out a the right cell phone/mp3 player/digital camera for you. Even better she can afford to buy it for you.
8) She'll be so happy that someone appreciates her for her real talents, that she'll adore you.
9) She won't cheat either. Given a choice between George Clooney and the newest tech toy, she'll take the toy.
10) Did I mention that she can fix your computer, make a website, design a database, install your cable modem and WiFi router, setup you iTunes for automatic download of your favorite artists, download your Outlook contacts onto the new cellphone/mp3 player/digital camera that she bought you?
11) And, she can cook dinner while doing all of the above.
24 juin 2007
RechargeIT : Google déclare la guerre aux énergies polluantes
Par Jean Etienne, Futura-Sciences
Gageons que si vous connaissez tous Google.com, le moteur de recherche omniprésent sur nos ordinateurs, vous n'avez jamais entendu parler de Google.org, la branche philanthropique de l'entreprise, engagée dans différents programmes environnementaux. Et pourtant, elle pourrait faire changer notre façon de voir le monde.
Alors que la firme de Mountain View vient d'officialiser son réseau de production d'énergie à base de panneaux solaires, son bouillant directeur annonce un plan qui devrait lui permettre d'obtenir un "bilan carbone neutre" d'ici la fin de cette année. Les moyens dont il a décidé de se doter comprennent une optimisation poussée comme jamais auparavant du très grand nombre (inconnu…) de terminaux qui entreposent et gèrent l'ensemble des données sur la planète, mais surtout la généralisation de l'utilisation de cette énergie solaire, et même au-delà des limites de l'entreprise.
Mais si les capteurs qui viennent d'entrer en fonctionnement assurent une fourniture de 1,66 MW, assurant 30 % de la consommation du gigantesque campus industriel, ce réseau sera étendu à l'horizon 2012 jusqu'à 50 MW, soit la consommation moyenne de 50.000 foyers.
Une nouvelle orientation
Mais Google n'entend pas rester isolé avec son projet, qu'il ambitionne d'étendre à l'échelle planétaire avec la même efficacité dont a fait preuve son moteur de recherche lorsqu'il a conquis pacifiquement l'ensemble du réseau internet et la totalité des ordinateurs qui y sont reliés. L'entreprise entend en effet investir une bonne partie de la gigantesque fortune qu'elle a accumulée dans le développement de solutions qui ne seront pas cantonnées au seul aspect "business", comme le développement des voitures hybrides que ses fondateurs estiment trop lent et soumis à l'influence réductrice de l'industrie pétrolière. Google est ainsi fondatrice de l'initiative RechargeIT, un plan ambitieux doté d'un fond de 1 million de dollars pour commencer, et qui servira à promouvoir l'utilisation de véhicules hybrides ou électriques, et qui fait déjà l'objet d'un accord avec la société Rent-a-Car.
Mais surtout, et c'est là que les intentions du géant informatique deviennent réellement novatrices, Google étudie l'utilisation d'un courant d'électricité bi-directionnel entre les véhicules et une grille électrique. "La technologie des énergies propres peut faire évoluer de manière conséquente la façon dont nous fabriquons et utilisons l'énergie pour nos voitures et nos maisons, en faisant fonctionner les voitures avec une grille électrique alimentée par l'énergie solaire ou d'autres sources d'énergie renouvelables. Cette approche peut quadrupler l'efficience totale des voitures sur les routes aujourd'hui", déclare le Dr. Larry Brilliant, directeur exécutif de Google.org.
L'idée de base du système repose sur la recharge des batteries des véhicules durant la nuit, lorsque le prix de l'énergie est au plus bas et la demande la moins forte. Ensuite, l'énergie inutilisée de ces mêmes véhicules pourrait être automatiquement réinjectée dans le réseau via des capteurs durant les heures de pointe, et ainsi aider à franchir les pics de production d'énergie qui contraignent souvent les centrales à augmenter leur production, ainsi que la pollution inévitablement associée. Le plan prévoit aussi que le prix de cette énergie "revendue" pourrait être soustrait de la facture totale, ce qui constituerait un incitant à plus d'économie en matière de transports.
Investissements et subventions ne sont pas négligés
Notons que l'initiative RechargeIT ne se cantonne pas à l'étude et à la recherche, mais fait aussi équipe avec PG&E (Pacific Gas & Electric) et inclut de nombreuses subventions pour assurer le développement de prototypes et leur commercialisation.
A la date actuelle, ce sont environ 900.000 dollars qui ont été versés comme subsides à diverses firmes pour la promotion des voitures hybrides, tant au titre de l'investissement dans la recherche que pour l'information du public, mais Google annonce aussi le versement de 10 millions de dollars en appel d'offres pour la commercialisation proprement dite de moyens de transports utilisant des énergies alternatives réduisant les émissions de gaz à effet de serre.
Alors, les constructeurs automobiles ont-ils du souci à se faire ? Probablement, car c'est toujours lorsque la situation semble le plus sous contrôle et vous endort par excès de confiance qu'elle vous échappe subitement des mains et que vous vous voyez soudain dépassé par un concurrent dont vous ne soupçonniez même pas l'existence.
La disparition d'un lac chilien due à une rupture des glaces
La soudaine disparition d'un lac chilien en Patagonie qui avait provoqué stupeur et interrogations parmi la population et les gardes forestiers, serait un phénomène naturel assez "fréquent" mais très rarement observé, affirment vendredi des experts à Santiago.
Des gardes forestiers et scientifiques ont découvert fin mai que le lac de Tempanos, situé à 2.000 kilomètres au sud de Santiago, à la limite des régions australes d'Aysen et de Magallanes, avait tout simplement disparu en se vidant.
Cette disparition n'est pas "une nouveauté" explique à l'AFP, Carlos Palacios, un géologue de l'université du Chili."C'est assez fréquent en Patagonie. Seulement on arrive rarement à l'observer à cause de la faible population" de la Patagonie, ajoute le scientifique.
"C'est un processus local qui n'a rien d'inhabituel. Je ne dis pas que cela survient tout les jours, mais, comme ces lacs se forment dans une zone dynamique, ils peuvent se vider par les mouvements de la glace", affirme à l'AFP, le glaciologue, Andres Rivera, du Centre d'études scientifiques de Valdivia (sud).
La disparition du lac, selon M Palacios, "serait due à la pression des réserves d'eau sur une sorte de mur de retenue formé par la glace et les roches qui, en cédant, a provoqué une forte crue puis un écoulement massif de l'eau".
Le chercheur ne croit pas que le lac se soit vidé à cause de mouvements du sol, toutefois il n'écarte pas que des secousses, survenues deux mois auparavant dans la région, aient accélerées le processus de rupture de la glace.
Le 27 mai dernier, des gardes forestiers avaient découvert au cours d'une patrouille de routine que le lac Tempanos avait disparu: "Ils se sont trouvés devant une formidable surprise: le lac avait disparu, purement et simplement. Et nous ne parlons pas d'un petit lac, mais d'un assez grand", a raconté le directeur régional du corps des gardes forestiers chiliens (Conaf), Juan José Romero, à la radio Cooperativa.
"Les morceaux de glaces qu'il y avait dans le lac, étaient là, mais posés sur le fond asséché de ce que fut ce lac, qui a disparu du matin au soir" a-t-il expliqué.
M. Romero a demandé un rapport à des géologues et a d'autres experts sur la disparition brutale du lac patagonien.
23 juin 2007
Sénèque toi-même !
Le calvaire indien des tortues de mer
Par Pierre PRAKASH
Chaque année, des milliers de tortues de mer meurent au large de la côte est de l’Inde, victimes des filets de pêches dans des zones pourtant interdites aux pêcheurs. Un scénario qui, malgré les protestations des écologistes, se répète à l’identique depuis plus de dix ans, alors qu’il s’agit d’une espèce archiprotégée, tant en Inde que dans le reste du monde. Parmi les régions les plus pauvres du pays, la côte de l’Orissa est le lieu le plus fréquenté de la planète par les tortues olivâtres (Lepidochelys Olivacea), attirant chaque année, entre octobre et mai, plus de la moitié de la po pulation mondiale. Pour des raisons que les scientifiques ignorent, les femelles reviennent en effet toujours pondre sur les plages de leur naissance, après avoir parcouru des milliers de kilomètres en mer. Un phénomène baptisé du mot espagnol «arribada» («arrivée»), car on ne le retrouve qu’au Costa Rica et au Mexique, à plus petite échelle.
Avant de sortir pour pondre, les tortues se regroupent au large pour s’accoupler dans des «zones de congrégations» qui rassemblent des dizaines, voire des centaines de milliers d’individus. «C’est là que les filets font des ravages, explique Biswajit Mohanty, cofondateur de «Opération Kachhapa», une campagne lancée en 1998 pour tenter de sauver l’espèce. «Les tortues se prennent dedans et meurent noyées, car elles ne peuvent plus remonter à la surface pour respirer.»
D’après les écologistes, plus de 100 000 tortues adultes sont ainsi mortes ces dix dernières années. Un taux de mortalité d’autant plus inquiétant que, d’après les estimations, seul un petit sur mille atteint l’âge adulte. Afin de protéger l’espèce, le gouvernement de l’Orissa impose des restrictions aux pêcheurs depuis de nombreuses années. Etalée sur près de 1 500 km2, le sanctuaire marin de Gahirmata leur est ainsi interdit, tandis que la pêche est restreinte dans un rayon de 20 kilomètres autour des zones de congrégation pendant six mois de l’année. Depuis 1997, tous les chalutiers doivent également équiper leurs filets de «dispositifs d’exclusion des tortues marines» , des engins qui permettent aux animaux de se libérer lorsqu’ils sont pris. Ces lois n’existent cependant que sur le papier. Motif : les autorités locales ne disposent pas de bateaux assez rapides pour prendre en chasse les chalutiers… «C’est aberrant, le dé partement de la pêche et celui des forêts [chargé de la faune, y compris marine, ndlr] ont reçu près de 200 000 euros chacun pour préserver les tortues olivâtres, mais ils n’ont même pas été fichus d’acheter un bateau», s’insurge Biswajit Mohanty. Et ce, bien que la Cour suprême s’en soit mêlée. Après une visite de terrain, en 2004, la plus haute autorité judiciaire du pays avait en effet formulé une série de recommandations, dont l’achat des fameux bateaux rapides, mais aussi la nécessité de démarquer le sanctuaire marin avec des bouées, de trouver des moyens de compensations pour les pêcheurs affectés, et de former des équipes dédiées à la question des tortues olivâtres, afin de pouvoir patrouiller en permanence. Trois ans plus tard, rien de tout cela n’a été fait. Interrogé l’an dernier par Greenpeace, le directeur de la faune de l’Orissa avait répliqué que démarquer la zone du sanctuaire marin était «trop compliqué» et «trop cher» . Quant aux équipes à plein-temps, impossible, le département des forêts de l’Etat souffre déjà d’un manque d’effectifs de 40 %.
Résultat : les patrouilles ont lieu au mieux toutes les deux semaines, sur des chalutiers loués, et les pêcheurs sont avertis à l’avance. Ceux, rares, qui se font prendre, s’en sortent en payant une amende. Mais personne, à ce jour, ne s’est fait confisquer son bateau ou sa licence. D’autant plus étrange que bon nombre de ces pêcheurs sont des clandestins venus du Bangladesh, ou des ressortissants des Etats voisins du Bengale et de l’Andrah Pradesh, qui n’ont pas le droit de s’approcher à moins de 20 kilomètres des côtes de l’Orissa. Une législation qui vise à préserver les pêcheurs locaux, lesquels sont, dans leur grande majorité, trop pauvres pour se payer des chalutiers à moteur. Pour ne rien arranger, la côte de l’Orissa est en train de s’industrialiser à toute vitesse, menaçant de signer l’arrêt de mort des «arribadas» . Attirés par la lumière des usines, des milliers de bébés tortues, nés sur les plages, se dirigent ainsi chaque année vers la terre plutôt que vers la mer, et meurent écrasés ou dévorés par des chiens. Pire encore, plusieurs plateformes pétrolières ont récemment été érigées au large des côtes, sans que l’on sache si elles se trouvent sur le parcours des tortues puisqu’aucune étude n’a été faite sur la question.
Pour couronner le tout, le géant indien de l’acier Tata Steel s’apprête à construire un port à seulement 12 kilomètres de la plage la plus fréquentée par les tortues. Son concurrent sud-coréen Posco prévoit, lui, d’en aménager un autre dans la même région. L’an dernier, Greenpeace avait tenté de secouer le chef du gouvernement régional de l’Orissa, Naveen Patnaik, en déposant, devant sa résidence de New Delhi, des carapaces et des squelettes de tortues mortes. Une action qui n’avait eu d’autre impact que l’arrestation de trois militants écologistes, accusés d’avoir illégalement transporté les cadavres d’une espèce protégée.
16 juin 2007
Des OGM dans le BIO
Le texte, qui entrera en vigueur en 2009, présente quelques avancées : obligation de mentionner le lieu de culture, 95 % des ingrédients d’origine biologique pour pouvoir bénéficier du label… (le logo européen se contentait jusqu’à présent de 70 %, tandis que cette limite est déjà obligatoire pour le label AB français). Dans un souci d’uniformisation, l’utilisation du logo biologique de l’Union Européenne (cf. illustration) devient obligatoire sur les emballages, sachant que les logos nationaux ou privés peuvent demeurer en complément.
Un temps craint par les professionnels et les consommateurs, les pesticides restent proscrits en bio, aucune modification à la liste des substances autorisées n’étant effectuée. Par contre, si l’utilisation d’organismes génétiquement modifiés (OGM) demeure interdite, la limite générale de 0,9 % de présence accidentelle d’OGM dans des produits dédiés à l’alimentation humaine s’appliquera dorénavant aux produits biologiques.
Bien que ce dernier point permette à un agriculteur bio de ne pas voir sa production déclassée dans le cas d’une légère contamination par des OGM, ce seuil pourrait ternir la bonne image des produits bio en privant les consommateurs des seuls produits à 100 % indemnes d’OGM. Cette acceptation européenne d’une contamination de la bio peut s’interpréter essentiellement de 2 manières différentes :
1) la volonté de favoriser une agriculture intensive, en cassant l’image saine des produits bio ;
2) permettre à la bio de continuer à exister, dans un contexte européen qui s’ouvre progressivement aux OGM.
Pour les professionnels adhérents de la FNAB (1) les choses sont entendues, ils vont travailler à une marque privée (2) pour garantir la crédibilité de leur production auprès des consommateurs.
Pascal FARCY
1- Fédération nationale d’agriculture biologique des régions de France
2- Deux labels existent actuellement en France : Nature et Progrès (jusqu'alors très proche du AB national) et DEMETER, beaucoup plus contraignant pour les paysans en favorisant une approche globale avec la culture de différents végétaux et l'él
Un exemple à suivre !
Tony Parker a remporté jeudi le trophée le plus impressionnant de sa carrière, celui de MVP de la finale, mais ce n'est pas forcément le plus beau. Cela revient au «titre NBA de 2003, le premier», explique-t-il tout en rappelant son souhait de participer à l'Euro (3-16 septembre), pour lequel il est logiquement pré-sélectionné.
«Tony Parker, quel effet cela fait de gagner ce titre de MVP de la finale et d'être le premier Européen ?
Je vais avoir mon nom gravé à côté de légendes comme Michael Jordan, Larry Bird... On n'effacera jamais cela. Quand je regarde ce trophée, je pense que je vais me réveiller demain et je vais toujours croire que c'est un rêve. Le basket européen progresse. Dirk Nowitzki a été le premier Européen MVP de la saison régulière et maintenant moi pour la finale. Et ce n'est pas fini.
Pourriez-vous classer vos titres ?
Le plus beau est le titre NBA de 2003, le premier. Ensuite je mettrais ce trophée de MVP et en troisième, il y a ma première sélection pour le All Star Game en 2006.
Pourquoi avez-vous mis sur votre taille le drapeau tricolore ?
A chaque fois que j'ai gagné, je l'ai mis. C'est donc la troisième fois. C'est pour montrer mon amour pour mon pays. Je ne les oublie pas. Je sais que beaucoup de gens se sont réveillés à trois heures du matin pour me regarder jouer. Et je leur dit que je serai prêt pour jouer cet été avec l'équipe nationale.
Titre et mariage, c'est votre plus belle année...
Je ne me plains pas effectivement. Je vais longtemps me souvenir de 2007. Je suis très reconnaissant. Je ne sais pas ce que j'ai fait (pour mériter ça) mais c'est une grande année.»