28 octobre 2005

Si tes Parents ont été finis avec de l'urine, sache que tu peux leur ressembler...




ÉTATS-UNIS - Des jumelles blondes âgées de 13 ans chantent la haine raciale


"Le mouvement suprématiste blanc américain a un nouveau visage angélique : des pop stars sœurs jumelles et adolescentes dont les chansons contiennent des messages de haine raciale", écrit le quotidien britannique The Daily Telegraph.


Lamb et Lynx Gaede, 13 ans, cheveux blonds et yeux bleus, de Bakersfield, en Californie, ont débuté leur carrière à 9 ans et sont en train d'enregistrer leur deuxième album. "Leurs chansons ont des titres comme Sacrifice, un hommage au dauphin d'Hitler, Rudolf Hess, présenté sous un jour élogieux comme 'un homme qui ne voulait pas abandonner'." Leur duo s'appelle "Prussian Blue" et a "un tel succès auprès des suprématistes blancs que David Duke, l'ancien leader du Ku Klux Klan et candidat à la présidence, les utilise pour faire campagne".

Sur scène et devant leurs fans néonazis, les jumelles Gaede n'hésitent pas à lancer des saluts hitlériens. Lamb et Lynx se disent "fières d'être blanches" et soucieuses de "préserver leur race". Leur mère, April Gaede, semble être leur principale source d'inspiration. Elle est elle-même membre du mouvement néonazi National Alliance, et elle a élevé seule ses filles après son divorce, en les retirant de l'école publique.

La controverse suit ces "sinistres copies" des jumelles Olsen, elles aussi jeunes et blondes étoiles qui ont brillé au cours de la décennie 1990, mais en empruntant un tout autre registre avec leur sitcom de bon ton et leurs films pour enfants, note le journal. La dernière provocation des jumelles Gaede s'est produite après l'ouragan Katrina, qui a durement touché la communauté noire de La Nouvelle-Orléans. Elles ont "stipulé que l'argent qu'elles ont donné pour aider les victimes ne devrait servir qu'à des Blancs".

- Courrier International -

27 octobre 2005

Il n'y a pas que les Cowboys qui flinguent les Indiens.


Une réserve indienne menacée par l'eau contaminée


La province de l'Ontario a déclaré l'état d'urgence, le 25 octobre, afin d'évacuer une réserve indienne frappée par la contamination de l'eau potable, rapporte le quotidien de référence canadien The Globe and Mail. Près de 60 % des membres de la petite communauté Cree de Kashechewan, située au nord de la province et que l'on ne peut atteindre que par avion, ont besoin de soins médicaux, selon le ministre ontarien des Ressources naturelles, David Ramsay.


"L'ordre d'évacuation marque un retour des autorités ontariennes sur leurs positions initiales", signale le journal. La veille, le Premier ministre de la province la plus riche du Canada, Dalton McGuinty, avait jugé la situation "rien de moins que déplorable", mais en reportant sur Ottawa la responsabilité d'agir. Le gouvernement fédéral est en effet en charge des affaires indiennes, même si "en cas de situation d'urgence il revient à l'Ontario d'intervenir", rappelle The Globe and Mail. Le peu de cas fait de la situation dans cette réserve a provoqué l'ire de Stan Louttit, le grand chef du conseil Mushkegowuk, responsable de Kashechewan, qui a tenu à rappeler que les Crees sont "des résidents de l'Ontario", cite The Globe and Mail.

"La réserve est depuis deux ans sous le coup d'une mise en garde enjoignant à ses habitants de faire bouillir leur eau avant de la consommer. Mais les conditions ont empiré il y a deux semaines, quand la bactérie mortelle E. Coli a été découverte dans l'eau potable de couleur whisky", écrit avec commisération le quotidien.

L'emplacement de l'usine de traitement des eaux est à l'origine du problème. Ses tuyaux pour récupérer dans la baie James cette ressource si essentielle sont à 135 mètres d'une lagune pour les eaux usées. "En conséquence, ces eaux vont directement dans le système de filtration", explique le quotidien torontois.

L'irruption de la bactérie E. Coli ne constitue pas une première en Ontario. En 2000, sept personnes sont mortes à Walkerton, une petite ville du sud de la province, et 2 300 autres ont été malades après avoir bu de l'eau contaminée. Un rapport produit à l'époque avait ensuite révélé que plusieurs réserves indiennes consommaient la pire eau de la province. "Murray Trusler, un médecin qui a visité la réserve de Kashechewan la semaine dernière, a affirmé que 100 communautés indiennes au Canada, dont 51 en Ontario, doivent faire bouillir leur eau", renchérit The Globe and Mail. Ce médecin a aussi déclaré que "plusieurs enfants à Kashechewan sont infectés par la gale, un parasite désagréable, et l'impétigo, une infection bactérienne de la peau".

Les autorités amérindiennes, provinciales et fédérales, se demandent maintenant s'il ne faut pas condamner cette réserve et construire un nouveau village pour cette communauté. La semaine dernière, des jeunes de Kashechewan ont déjà manifesté leur intention de brûler dix maisons par mois si rien n'est fait. Ottawa bornait alors son plan d'action à envoyer de l'eau en bouteilles.

25 octobre 2005

La vérité scientifique n'est QUE la vérité scientifique.

Le dalaï-lama sème la zizanie chez les scientifiques

Le 24/10/2005 à 11 h 00 - Marianne.

La présence du chef spirituel des Tibétains à une conférence de neuroscience n’est pas du goût de tous.

Étudier le fonctionnement du cerveau lors d’une séance de méditation, pourquoi pas. Mais que le dalaï-lama en personne intervienne à la prochaine conférence de la société américaine de neurosciences, des scientifiques s’y refusent.

Le chef spirituel tibétain a en effet été invité pour prononcer le discours inaugural de la conférence annuelle de la « Society for neuroscience », qui se tiendra le 12 novembre à Washington. Parmi les 20 000 neurologues attendus, cette annonce a suscité une vive polémique, faisant redouter à certains le « dangereux » amalgame entre science et religion. Plus de 700 scientifiques ont alors entrepris de signer une pétition demandant l’annulation de l’intervention du leader tibétain en exil. Ce qu’ils n’ont pas obtenu.

Le dalaï-lama s’exprimera donc sur la « neurologie de la méditation », un thème devenu populaire depuis que des moines bouddhistes se sont prêtés à une étude sur l’activité de leur cerveau. Leurs recherches tendent à prouver que la méditation génère des émotions positives.

Une partie des neurologues réfute la scientificité de ces travaux, notamment ceux menés par l’organisation « Mind and life » du dalaï-lama. « Ce que je conteste, c’est le fait qu’un non-scientifique parle de science à un groupe de scientifiques », explique Nancy Hayes, neurobiologiste dans le New Jersey. Les défenseurs du dalaï-lama ont répliqué en faisant circuler une contre-pétition. Ils estiment que ces attaques sont en grande partie le fait de chercheurs originaires de la Chine ayant eu une réaction nationaliste. Si la religion n’a pas le droit d’interférer avec la science, la politique ne s’en prive pas !

- Audrey GARRIC -

20 octobre 2005

Conscience de la Nature chez le Militaire Américain...



jeudi 20 octobre 2005, 10h04

La marine américaine accusée de mettre en danger les baleines


LOS ANGELES (AFP) - Des groupes de défense de l'environnement soutenus par l'acteur Pierce Brosnan poursuivent en justice la marine américaine, l'accusant d'utiliser un sonar mettant en danger les mammifères marins.

Plusieurs associations écologistes ont porté plainte mercredi à Los Angeles (Californie, ouest), affirmant que l'utilisation par la marine d'un "sonar actif" destiné à détecter les sous-marins dans des zones habitées par des baleines et des dauphins constitue une infraction à la loi.
Ce type de sonar propage dans l'eau le son d'explosions très fortes qui peuvent provoquer des pertes d'audition et endommager les organes internes des baleines, et avoir un impact sur d'autres mammifères marins, selon des chercheurs cités par ces groupes.

L'ex-James Bond Pierce Brosnan a apporté son soutien à l'action en justice. "Les sonars militaires génèrent des bruits assourdissants qui peuvent blesser ou même tuer des mammifères marins", a assuré Pierce Brosnan dans une vidéo distribuée par les groupes écologistes.

"Personne au sein de la communauté scientifique ne discute le fait que les systèmes de sonar actifs de moyenne fréquence utilisés par la marine peuvent tuer, blesser ou perturber des mammifères marins", indique pour sa part le texte de la plainte.

"Les données scientifiques disponibles semblent aussi montrer une relation de longue date entre les exercices de la marine et l'échouage en masse de baleines désorientées", ajoute le texte.

Parmi les plaignants figurent le Conseil de défense des ressources naturelles (NRDC), un groupe américain, et le fils du célèbre océanographe français Jacques-Yves Cousteau, Jean-Michel Cousteau. Ils accusent la marine d'infraction à une loi américaine qui requiert une évaluation avant toute action du gouvernement pouvant avoir un impact sur l'environnement, et à un autre texte sur la protection des espèces menacées. La marine américaine n'était pas joignable pour réagir à cette plainte.

Les plaignants, qui réclament une analyse de l'impact de ce sonar sur l'environnement, veulent aussi forcer la marine à prendre des précautions avant tout usage de cet instrument, comme vérifier la présence de baleines dans la zone.

"Ce n'est pas l'environnement d'une part contre la sécurité nationale d'autre part", a souligné Joel Reynolds, avocat du NRDC, interrogé par des journalistes. "Nous pouvons avoir les deux et nous le devons, car c'est ce que la loi exige", a-t-il ajouté. Cette plainte fait suite à une action en justice semblable, mais cette fois sur les sonars à basse fréquence, réglée à l'amiable il y a deux ans.

Les défenseurs de l'environnement reconnaissent que les données publiques sur les sonars à haute fréquence, utilisées par toutes les marines du monde à bord de leurs sous-marins ou bâtiments de surface, sont rares. Mais leur plainte affirme que les sonars peuvent générer des sons jusqu'à 215 décibels, bien au delà du seuil de la douleur pour les humains.

En 2000, sept baleines avaient été retrouvées mortes sur les côtes des Bahamas, en mer des Caraïbes, après que la marine américaine eut utilisé des sonars ayant, selon les groupes, propagé des sons de 235 décibels.

Depuis, la marine a continué à utiliser ces instruments, dont une fois à l'occasion d'un entraînement au large des côtes de la Caroline du Nord (est) en janvier dernier, habitées par des espèces de mammifères protégées, selon la plainte. Les écologistes affirment en outre que des dauphins ont aussi pâti de ces sonars et que les tortues marines, les poissons et d'autres formes de vie aquatique pourraient également être à risque.

18 octobre 2005

Les Cathares ? Ca passe à la radio ce groupe là ?

Amies et amis des Terres Cathares, bonjour.

Dans le cadre de mon activité d'édition, je rencontrais, voici quelques jours, une entreprise entrant dans le champ des annonceurs potentiels pour la revue. Impliquée géographiquement par l'histoire de la région, je présentais naturellement notre positionnement par rapport au "pays cathare". Au fil de la discussion, j'ai senti un blocage envers "ce qui pourrait être autre chose que l'histoire". Quelques mots devaient être bannis, comme "spiritualité", pour ne conserver que des versions insipides telles que "culture" ou "patrimoine".

En creusant un peu cette réaction, j'ai découvert que la personne en face de moi souhaitait écarter toute allusion à la spiritualité et n'acceptait de parler du catharisme que comme un support du patrimoine médiéval oublié, comme si une entreprise "sérieuse" ne pouvait s'occuper de questions comme la religion ou la spiritualité.

Cela m'interroge...

L'homme moderne doit-il nécessairement oublier sa condition pour s'insérer dans le troisième millénaire ? Devons-nous ne conserver de nous-mêmes que cette version épaisse de notre être pour en oublier toute sa subtilité ? Devons-nous accepter une schizophrénie permanente, ne pouvant vivre de manière identique sur les plans professionnel, familial et personnel ? Devons-nous trahir notre plénitude pour ne conserver qu'une vie partielle et partiale ?

Ce n'est certes pas la première fois que je constate un tel vide spirituel mais j'ai réellement compris, à cet instant, qu'il ne s'agissait pas uniquement d'une crainte vis-à-vis des sectes. Le problème est beaucoup plus grave et dépasse largement le cadre de la seule définition du catharisme et de ses récupérations.

De fait, considérer le champ spirituel comme déconnecté du monde matériel est aussi idiot que de définir notre matérialité comme inférieure à la spiritualité. C'est cette forme de dualisme exclusif que nous traînons depuis plus de 2 500 ans, après Socrate, Platon, saint Augustin et bien d'autres qui nous ont précédés et influencent encore notre vision du monde et de notre vie.

Ce carcan intellectuel et idéologique qui voudrait nous faire croire à une séparation entre le corps et l'esprit, entre l'observateur et ce qui est observé, entre nous et notre environnement devrait être oublié depuis longtemps. Les progrès de la science, de la physique quantique à la psychosociologie nous apportent des réponses bien différentes que cette approche segmentée.

Mais au fond... qu'est-ce que cela cache ?

La réponse est malheureusement simple. Plutôt que d'accepter que les solutions ne soient pas données par ce que nous croyons être des vecteurs de vérité (les médias, les savants, les personnalités "référentes"), nous préférons oublier les questions. Plutôt que d'accepter que nous sommes à la fois un corps et un esprit, nous préférons ne conserver que la vision étriquée d'un corps physique perdu dans un monde matériel dénué de sens.

Au quotidien, la vie nous apporte des questionnements et le plus souvent des réponses. Encore faut-il être à l'écoute, bien entendu, des signaux faibles, de ce que nous ne voulons pas entendre, de ce qui peut remettre en cause notre relatif confort dans la non action.

Êtes-vous cathares ? La question n'est pas là. Elle ne se pose pas car elle n'a pas véritablement de sens. Le Sens que nous devons chercher inlassablement, c'est ce que nous devons faire de ce court instant que nous vivons sur terre. Ce qui doit nous guider, c'est que nous ne sommes pas simplement des êtres dont la chair part en décomposition à l'issue d'un battement de coeur à l'échelle de l'Univers. Ce qui est important, c'est ce que nous apportons autour de nous, ce que nous construisons, dans l'intérêt de nos proches, de notre environnement et de la société dans laquelle nous vivons. C'est ainsi que nous pouvons retrouver notre dimension spirituelle, dans ce qu'elle a de merveilleux et de déroutant : nous ne sommes pas déconnectés de l'Univers. Nous en faisons partie, nous en sommes un élément, un composant et surtout un acteur.

A bientôt.

- Philippe Contal -

Big Brother est chez vous, mais pas dans l'ordinateur.


Est-ce que votre imprimante vous espionne ?


« Est-ce que votre imprimante vous espionne ? » La question semble exotique mais c'est pourtant ce que se demande L’EFF ou Electronic Frontier Fondation, association bien connue basée à Cambridge, Massachusetts. Fondée par l’un des membres de Gratful Dead, notamment, elle se pose comme la garante des libertés individuelles dans le monde informatique.

« Imaginez que chaque fois que vous imprimez un document, il est automatiquement inclus un code secret qui peut permettre d’identifier l’imprimante et potentiellement celui qui l’utilise » imagine l’EFF avant de préciser : « malheureusement ce scénario n’est pas une fiction ».

Toujours selon l’Electronic Frontier Fondation, le gouvernement américain a avec succès persuadé certains fabricants d’imprimantes lasers couleurs d’encoder chaque page avec des données d’identification. Pratiquement, ce marquage prend la forme d’une inscription faite sur le papier à l’aide de quelques points, aussi petits que discrets. Et généralement ces points sont plutôt jaune pâle que noir ou rouge vif… « Cela signifie que sans votre consentement, un acte que vous effectuez dans votre vie privée peut devenir public. Cet outil (...) pourrait ainsi devenir un outil pour la surveillance gouvernementale ». L’organisation indique aussi que cette atteinte aux libertés est d’autant plus profonde qu’il n’y a aucun texte aux Etats-Unis pour contrôler ces agissements par le FBI notamment. « Seules les conditions d’utilisation fixée par le fabricant d’imprimantes peuvent actuellement vous protéger » indique-t-elle...

Du coup, l’EFF s’est lancé dans l’édition d’une liste des imprimantes susceptibles d’être en cause où du moins, des codes ou marques ont été aperçus sur chaque tirage. Notons que certains fabricants indiquent cette présence dans les conditions d'utilisation... mais pas toujours.

L’EFF s’est aussi « amusée » à décoder certains éléments en sa possession, pour l’une des imprimantes de la liste, une Xerox DocuColor 12. Les tirages papiers ont ensuite été pris en photo à l’aide d’un microscope numérique sous certaines conditions de luminosité. Après report sur une grille, l'association s’est ensuite lancé dans l’analyse. Elle est finalement parvenue à reconnaître d’une part la date d’impression et l’heure ainsi que le numéro de série de l’imprimante en cause. L'on consultera la page en question des tests effectués sur ce modèle.

L'analyse de l'EFF et l'édition de cette liste est encore en cours. Elle s’effectue suite à une opération lancée sur le site nommé « Machine Identification Code Technology Project ». En pratique, il est demandé aux visiteurs d’imprimer et renvoyer à l'association une série d’épreuves, accompagnées des références de l’imprimante dans un formulaire

- Marc REES -

L'art, ça fait chier...

Contempler de l'art est bon contre la constipation

STOCKHOLM (AFP) - Contempler des oeuvres d'art et les évoquer sont des remèdes efficaces contre l'hypertension et la constipation, révèle vendredi l'auteur suédoise d'une étude.

Pendant quatre mois, Britt-Maj Wikström, chercheuse à l'université Ersta Sköndal de Stockholm, a réuni une fois par semaine vingt femmes âgées d'environ 80 ans pour des conversations autour d'oeuvres d'art."Le résultat a été positif. Leurs attitudes sont devenues de plus en plus positives, elles sont devenues plus créatives, leur pression artérielle est allée dans la bonne direction (...) et elles se sont mises à utiliser moins de laxatifs", a expliqué Mme Wikström.
Un groupe témoin de vingt autres femmes qui se sont réunies, également à un rythme hebdomadaire, pour évoquer leurs loisirs, n'a pas bénéficié des mêmes effets, a-t-elle souligné."Il y avait une différence significative entre les groupes", a-t-elle dit, ajoutant que les effets bénéfiques avaient continué d'agir sur les femmes du premier groupe des mois après la fin de l'expérience.

La chercheuse suédoise s'intéresse à l'impact de l'art sur l'homme depuis lesannées 80. Elle a notamment étudié l'influence sur les employés de la présencede peintures sur les murs de leurs bureaux.

16 octobre 2005

Israël et son Apartheid


Entretien exclusif Réseau Voltaire

Mordechaï VANUNU : « C’est parce qu’Israël détient la bombe atomique qu’il peut pratiquer sans crainte l’apartheid »

par Silvia Cattori, journaliste Suisse

Ingénieur au centre de Dimona, Mordechaï Vanunu révéla, en 1986 au Sunday Times, l’existence du programme nucléaire militaire israélien. Enlevé en Italie par le Mossad alors qu’il venait de contacter les journalistes britanniques et avant que leur article ne paraisse, il fut jugé à huis clos et emprisonné dix-huit ans. Bien qu’interdit de contact avec la presse, il a répondu aux question de Silvia Cattori pour le Réseau Voltaire.

A lire ici : Réseau Voltaire

15 octobre 2005

Yoda is back.

"Le Maître n'est pas celui qui a le plus de disciples mais celui qui crée le plus de Maîtres.
Le leader véritable n'est pas celui qui a le plus d'adeptes mais celui qui crée le plus de leaders."

- Conversations avec Dieu -

13 octobre 2005

A qui profite le crime ?

jeudi 13 octobre 2005, 19h17

Katrina: le polémiste noir Farrakhan croit au sabotage des digues


WASHINGTON (AFP) - Le responsable du mouvement noir américain "Nation of Islam", Louis Farrakhan, a mis de l'huile sur le feu jeudi sur une rumeur autour du cyclone Katrina, selon laquelle les inondations des quartiers noirs de La Nouvelle-Orléans auraient été provoquées par une explosion volontaire des digues et non à cause de leur simple faiblesse.

M. Farrakhan, a affirmé lors d'une conférence de presse qu'un cratère de près de huit mètres avait été constaté sous les digues défaillantes. Il a également cité une source anonyme au sein du génie militaire, qui aurait repéré des marques de brûlure sur le ciment provenant d'explosifs militaires, laissant entendre que le "sabotage" pourrait avoir été commandité en haut lieu.
"La malveillance existe dans les plus hautes sphères", a-t-il déclaré. "Le gouvernement doit prouver que ces rumeurs sont fausses ou que nos soupçons sont justifiés".

Le prédicateur de cette secte d'inspiration musulmane, controversé en raison de ses propos hostiles aux juifs et aux homosexuels, a également mis en cause l'Agence fédérale de gestion des crises (Fema) et la Croix-Rouge, estimant que leurs responsables comptaient trop peu de noirs américains.

"Ils sont trop blancs, c'est vrai quoi! ", a-t-il déclaré. "Le racisme a empoisonné le sang" de ce pays. "Ne croyez pas qu'il n'existe pas à la Fema ou la Croix-Rouge", a-t-il ajouté, appelant ces organismes à "rendre des comptes" de leur gestion des dons en faveur des victimes de Katrina.

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11 octobre 2005

Y'en a qui font des gosses parce qu'ils ne peuvent pas avoir de chien...

" En allant chercher mon pain, j'ai assisté l'autre jour à une sortie de maternelle. Tableau consternant.

Des mères célibataires habillées en putes - jeans taille basse sur string, mèches, tatouages et piercing - flanquées de deux, trois pères chômeurs décolorés, le tout récupérant des chiards obèses et geignards aussi mal fagotés qu'eux.

D'un côté des parents post-ados immatures abrutis, de l'autre des enfants-rois déjà consommateurs pervers. Face à ce spectacle atroce qui ne pouvait qu'heurter une sensibilité un peu écologiste, une question me vint, brûlante. Pourquoi ces parents font-ils encore des gosses ?

Et même sans parler des enfants, quand on pense à tous les emmerdes que vous attire l'entreprise de conquète sexuelle : humiliation du "non", frais de table, maladies vénériennes, mariage, divorce et pension, prison pour pédophilie, voire pire, on se dit, comme Bertrand Cantat, que s'abstenir eut été préférable... Misères du désir ! "

Alain SORAL

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