L'intellectuel Alain FINKIELKRAUT s'est dit mardi "atterré par l'état actuel de la gauche". "Je constate que le Parti socialiste est dans le coma", déclare-t-il. "La gauche a choisi la voie du mitterrandisme, de la posture, du symbole et pas la voie du mendésisme, c'est-à-dire en gros de la connaissance des dossiers", considère M. FINKIELKRAUT.
"Il y a d'autres possibilités qui s'offrent aux électeurs" pour la présidentielle, déclare-t-il. "Il y a peut-être des candidats qui sont plus aptes que la gauche à prendre en compte les problèmes, à réagir au désastre", précise-t-il. "Si je suis poussé dans mes retranchements, alors oui je nommerai François Bayrou, je nommerai Nicolas Sarkozy et peut-être également "sous certaines réserves" Dominique Voynet (...). Mais j'aurais préféré une candidature de Nicolas Hulot", confie-t-il.
Il précise que cela ne fait pas de lui pour autant "le porte-parole de Nicolas Sarkozy, ni de qui que ce soit d'autre". L'écrivain dément notamment les informations de certains médias faisant état de son ralliement imminent au candidat de l'UMP. "Je n'ai jamais été en contact avec le Figaro pour faire un article sur l'élection présidentielle contrairement aux affirmations du Canard enchaîné", souligne M. Finkielkraut. De même "il ne m'a jamais été demandé de participer à la réunion du 11 février des comités de soutien à Nicolas Sarkozy comme l'a écrit Le Monde", affirme-t-il.
"Si j'interviens dans la campagne, cela ne sera pas sous la forme d'un ralliement. Ce sera par une analyse des problèmes car nous vivons une sorte de désastre", explique-t-il. "Je pense que l'école est dans un état désastreux, je pense que la morale civique est dans un état désastreux, je pense que la montée des incivilités a pris des proportions absolument épouvantables", détaille-t-il. "L'écologie exige de nous que nous changions", conclut-il.
"Il y a d'autres possibilités qui s'offrent aux électeurs" pour la présidentielle, déclare-t-il. "Il y a peut-être des candidats qui sont plus aptes que la gauche à prendre en compte les problèmes, à réagir au désastre", précise-t-il. "Si je suis poussé dans mes retranchements, alors oui je nommerai François Bayrou, je nommerai Nicolas Sarkozy et peut-être également "sous certaines réserves" Dominique Voynet (...). Mais j'aurais préféré une candidature de Nicolas Hulot", confie-t-il.
Il précise que cela ne fait pas de lui pour autant "le porte-parole de Nicolas Sarkozy, ni de qui que ce soit d'autre". L'écrivain dément notamment les informations de certains médias faisant état de son ralliement imminent au candidat de l'UMP. "Je n'ai jamais été en contact avec le Figaro pour faire un article sur l'élection présidentielle contrairement aux affirmations du Canard enchaîné", souligne M. Finkielkraut. De même "il ne m'a jamais été demandé de participer à la réunion du 11 février des comités de soutien à Nicolas Sarkozy comme l'a écrit Le Monde", affirme-t-il.
"Si j'interviens dans la campagne, cela ne sera pas sous la forme d'un ralliement. Ce sera par une analyse des problèmes car nous vivons une sorte de désastre", explique-t-il. "Je pense que l'école est dans un état désastreux, je pense que la morale civique est dans un état désastreux, je pense que la montée des incivilités a pris des proportions absolument épouvantables", détaille-t-il. "L'écologie exige de nous que nous changions", conclut-il.
Source : Le Monde
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